C'est Barbara qui agonise et ça gâche aussi un peu cette partie parce qu'elle ne dit rien aux autres.
Doctor Who
Les aventures du Docteur, un extraterrestre, un Seigneur du Temps originaire de la planète Gallifrey, qui voyage à bord d'un TARDIS (Temps À Relativité Dimensionnelle Inter-Spatiale), une machine pouvant voyager dans l'espace et dans le temps. Le TARDIS a l'apparence d'une cabine de police (construction typiquement ...
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Terminée | Anglaise, GB | 25 minutes |
Science-Fiction, Fantastique, Historique, Action, Adventure, Action & Adventure, Drame, Science-Fiction & Fantastique | BBC One, Youtube, BBC, Global, ABC (AU) | 1963 |
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2.03 - La Planète des Géants - Partie 3 (crise)
Crisis
Après avoir découvert le meurtrier et son mobile, le docteur et Susan, afin de lui échapper, s'enfonce dans le siphon d'un évier. Malheureusement le scientifique décide de se laver les mains après avoir touché le DN6, un dangereux insecticide.
Diffusion originale : 14 novembre 1964
Diffusion française :
14 novembre 1964
Réalisat.eur.rice.s :
Mervyn Pinfield, Douglas Camfield
,
Douglas Camfield
,
Mervyn Pinfield
Scénariste.s :
Louis Marks
Guest.s :
Alan Tilvern
,
Fred Ferris
,
Reginald Barratt
,
Rosemary Johnson
Tous les avis
Avis favorable | Déposé le 17 octobre 2017 à 17:47 |
Ah le meurtrier qui se fait passer pour la victime au téléphone, mais qui se fait griller instantanément, c'est trop drôle. Comme prévu, la partie "meurtre" prend trop de place dans cette troisième partie, une vraie perte de temps pour le spectateur,. Cette intrigue est d'autant plus surprenante que durant ce temps, Susan agonise. Pour les producteurs, elle est au contraire un gain de temps et permet d'économiser sur les décors et les péripéties et ainsi le quatuor retourne au Tardis avec une facilité déconcertante, via une ellipse. Néanmoins, cette première aventure est réellement fraîche et sort des schémas habituelles de la série. Très, très plaisant. |
Avis favorable | Déposé le 25 septembre 2015 à 23:33 |
Une bonne dernière partie, avec un axe plus marqué sur la partie “scientifique” : le fonctionnement des pesticides, les conséquences sur les humains, l’eau potable ou non, etc. toujours dans une visée éducative et politique pour petits et grands, avec une vision assez avant-gardiste sur les pesticides à l’époque je pense. Encore une ultime fois, la miniaturisation est exploitée avec créativité avec cet enjeu de soulever un téléphone pour prévenir la police, ou encore de parler fort dans l’évier. On voit ainsi l’ingéniosité du groupe et leurs efforts communs qui les soudent. Même si Barbara retient trop son information de poison, il y a un moment où tu crains vraiment pour sa vie, car le ton est solennel et qu’on se dit qu’à partir de maintenant, tout peut arriver : les compagnons ne vont pas rester éternellement… La conclusion avec le policier est sympathique mais on aurait pu imaginer mieux ou plus épique ou encore plus ingénieux. Il faut tout de même souligner que contrairement à plein d'autres classics, Planet of Giants semble s'arrêter tout pile au bon moment : suffisamment pour qu'on se dise que l'histoire était sympathique, sans avoir eu de longueurs mais sans avoir l'envie d'en savoir plus car on commençait à sentir que l'histoire n'avait plus grand chose à dire après cet épisode. Planet of Giants devait à l'origine être une histoire en quatre partie située après le premier épisode de la série, dans le laboratoire de l'école de Ian, Barbara et Susan, à la place de l'intrigue sur les hommes des cavernes. Je préfère de loin la version qu'on a eu, puisque cela implique de véritablement quitter la Terre et de montrer tout de suite les dangers et les merveilles de l'univers, mais il est amusant de voir qu'ils avaient cette idée d'épisode en tête dès le début de la série. C’est donc globalement une conclusion correcte à un serial très créatif, et toujours appréciable en grande partie car il est si court et si original ! Note moyenne : 14.33/20 |
C’est un joyeux “Chérie, j’ai rétréci le Tardis” qui ouvre une parenthèse merveilleuse et enfantine entre deux saisons, et qui, bien qu’un peu basique (mais adorable) fait carrément du Docteur une sorte de zadiste. Stylé! . (15)